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#23
La bisexualité masculine forcée par la maîtresse est souvent considérée comme une forme de domination et d'humiliation, soulignant la dynamique de pouvoir entre le maître et l'esclave. Forcer un esclave masculin à s'engager dans une activité sexuelle avec d'autres hommes bisexuels ou mieux hétérosexuels également, sert plusieurs objectifs. Cela peut aider à faire tomber les barrières de la honte et de la gêne qui ont pu s'accumuler au fil du temps, permettant à l'esclave de devenir plus ouvert et d'accepter sa sexualité et en l'espèce sa bisexualité. Cela contribue également à accroître la confiance du soumis envers sa maîtresse, lui permettant ainsi de jouer un rôle plus dominant dans la relation. Cela peut se voir à la fois physiquement et émotionnellement, avec une dépendance du soumis bisexuel accrue à sa maîtresse pour des conseils et une approbation. En plus d'accroître la soumission masculine dans la relation, forcer son soumis masculin à s'engager dans des actes de bisexualité masculine peut également être utilisé comme une occasion de punition, en fonction de son degré d'obéissance à un moment donné. C'est parfois l'occasion de faire son coming out, et de réveler ainsi une orientation sexuelle qui était cachée et d'explorer une nouvelle forme de sexualité en s'éloignant des clichés hétérosexuels. Dans la soumission, la bisexualité peut inclure des punitions physiques telles que des fessées, selon le type de comportement que la femme engagée dans la démarche de domination féminine souhaite modifier chez son homme soumis.   Enfin, forcer l'homme soumis masculin à des plans bisexuels peut également être un moyen de lui d'apprendre à contrôler ses propres désirs et besoins sexuels. D'une manière générale, au regard des témoignages, les hommes qui ne sont pas bisexuels ont tendance à considérer leur sexualité d'un point de vue binaire : pour eux l'orientation sexuelle est soit complètement hétérosexuelle, soit complètement homosexuelle, sans qu'il soit possible d'explorer une voie du milieu et d'avoir des rapports, de temps à autres avec un mâle. Cependant, en étant forcé par une femme à des activités bisexuelles telles que sucer la bite d'un autre homme, l'homme peut lentement commencer à comprendre qu'il existe un spectre plus large lorsqu'il s'agit de comprendre sa propre sexualité et ses désirs. La domination féminine peut faire naître petit à petit des envie de bisexualité chez les hommes,  pour explorer cette sexualité avec un autre mâle, sous le contrôle de la femme dominatrice. Les témoignages de certains esclaves le confirme, bien qu'à ma connaissance aucune étude sérieuse n'est été faite sur la question du mâle converti à la bisexualité converti dans le cadre du BDSM. Tenter une expérience de bisexualité forcée si cela bouscule les préceptes par la force, n'est en tout cas pas faire le choix d'un changement radical de sexualité. La communauté BDSM est un moyen en tout cas de transgresser ses propres tabous, puisqu'être forcé à l'acte bisexuel avec un homme choisi par la femme dominante, et ne pas faire de cette activité sexuelle un choix permet de retirer tout une part des effets de la culpabilité à travers une activité bisexuelle imposée par la force par sa dominatrice.
je me suis permis de reprendre ce texte en fonction de ce que je pense. Étant hétéro, je pense que c'est une punition de la dominatrice de m'impsoser de sucer des bites (avec préservatifs, obligatoires) déja la postion à genoux est déjà une soumission. Mais la pire punition, même si elle m'a déjà sodomisé avec des godes ceintures, serait de me faire enculer par un homme très bien monté bien à fond pour me faire jouir du cul mais aussi une sodomie douloureuse me laissant épuisé, pendant que la domina dirait : "tu aimes ça salope, te faire démonter le cul, tu es une véritable lopette, une pute, maintenant à chacune de nos rencontres, je vais te faire enculer par des mecs". - oui maîtresse.
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